Thursday, March 18, 2010

Des aiguiseurs : deux questions et une confession

Par votre rue l'aiguiseur continue-t-il de passer ? L'autre jour j'ai vu l'un par la télé dans un programme sur la Roumanie et j'ai rappelé la quantité de temps qui ne l'a pas écouté. Je me refuse à penser qu'ils se sont éteints : des couteaux continuent d'exister et il continue d'exister la nécessité de les avoir comme aiguisés (et admettons que le niveau d'aiguisé que l'on obtient par la pierre d'émeri que nous ayons tous à la maison est très très regulero …)
Par mon peuple il fait que je n'entends pas passer le lait de temps. Il leur passe sûrement comme au Vautour Fauve et ils survivent seulement dans quelques lieux du pays … il baiserait avoir à aller au Caceres ou à la Guadalajara à une “réserve d'aiguiseurs” pour réussir bon aiguisé.
Une autre chose qu'il vous voulait commenter … : dans tous les endroits faisaient-ils le même son de réclame ? Dans le mien ils touchaient une mélodie telle que j'ai saisi : “fiurururruuuuu … fururururiuuuuu” (d'abord vers pointu, et tout de suite il faisait gravement - vous aurez remarqué mes connaissances brutales de solfège: hein ?-). Dans le tien idem ? Ceux qui vivent près d'une “réserve d'aiguiseurs” et ils écoutent comment des centaines d'eux font en même temps la réclame dans une époque d'appareillement me pourront être établis facilement à cette deuxième question.
Et maintenant une confession : par Tutatis qui jusqu'au bien rentré dans des années (je suppose que dans un âge compris entre faire la communion habillé de marinerito et la sortie du premier protomostacho) pensait que “fiurururruuuuu … fururururiuuuuu” c'était le son que monsieur l'aiguiseur faisait après avoir réalisé son travail. Comme il vivait dans un quatrième étage et n'arrivait pas à voir comment il aiguisait l'outil, il avait la conviction de ce que, après avoir choqué le couteau contre la pierre, sortait le curieux sonidillo. Jusqu'à ce qu'un jour je visses le susdit dans une motocyclette en lui donnant sur le sifflet - flautilla. Quelle déception.

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