Sunday, March 14, 2010

Un acquittement et une réparation pour Egunkaria

L'histoire récente a connu des abus multiples et des bêtises commises ayant pour excuse la lutte contre ETA. Certains de ces collisions ont été si sangrantes comme la retraite du droit de suffrage passif aux personnes contre qui ne servait pas d'intermédiaire aucune décision de justice dans son contre qu'il avalisait telle décision, en transgressant le droit de participation politique (un article 23 de texto-que-a·n-no-ha-entrado-en-vigor-en-sus-partes-mßs-importantes-conocido-popularmente-como - "une Constitution - espagnole") avec un outil à la main (la LOPP) qui peut seulement limiter le droit d'association (un article 22 de texto-que-a·n-no-ha-entrado-en-vigor-en-sus-partes-mßs-importantes-conocido-popularmente-como - "une Constitution - espagnole"). Mais d'entre toutes les injustices il ressort possiblement (par son arbitraire manifeste et brutal et son despotisme notoire) la fermeture du quotidien en basque Egunkaria.
Sept ans après que l'Audience Nationale clôturait le journal, aujourd'hui n'existe pas déjà une accusation du Ministère public et une accusation particulière. Le processus continue soutenu sur l'accusation populaire exercée par “l'Association de Victimes de terrorisme” et “l'Association la Dignité et la Justice”.
Celui-ci fait casse avec la doctrine marquée par le Cour suprême dans le cas la Bottine, quand il a été établi que les accusations populaires ne peuvent pas demander l'ouverture de jugement oral quand le Ministère public et les nuis ont renoncé à la cause. Dans le cas d'Egunkaria une accusation particulière n'a jamais existé, et dans le relatif à l'accusation publique le Ministère public compte trois ans en soutenant qu'il n'y a pas de base pour soutenir la cause. Que je conclus que pour la Bottine ce n'était pas suffisant, il semble que oui il le sera dans le cas de cinq des responsables d'Egunkaria.
Pour l'honte de l'État qui est dit “du Droit”, il faut rappeler que cinq des personnes arrêtées par le cas Egunkaria furent emprisonnés par ce processus pendant les longues périodes (l'une d'elles plus d'un an et demi, et l'autre plus de vingt-et-un mois).
À la fermeture (qui a été qualifiée de “provisoire“ par l'Audience Nationale, et qui était en principe de six mois) l'ont suivi les prorogations qui ont obtenu la disparition définitive du milieu. Là 180 êtres humains travaillaient.
Aujourd'hui commence le jugement contre deux ex-directeurs et trois ex-membres du conseil de l'administration du quotidien Egunkaria, qui devraient avoir le dossier de toutes les personnes avec une sensibilité minimale démocratique.
Pour prendre fin, quelques lectures recommandées :
Sur le cas en général : une très bonne entrée dans “Celui Qui Il Comprend Beaucoup”, où vous trouverez quelques liens intéressants aux questions clefs du processus.
Sur les chiripitiflaúticas des accusations de l'"AVT" et de “la Dignité et de la Justice” : l'article de Carmen Lamarca, un professeur titulaire de Droit pénal de l'Université Carlos III de Madrid.
[Une entrée relative : "Le lynchage permanent au Pays Basque"]

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