Wednesday, March 17, 2010

Je ne m'ajoute pas au manifeste

Je suis très peu de “culofino” à l'heure d'adhérer à tout document ou à la campagne avec laquelle il partage le noyau essentiel dont il défend. Je ferai aujourd'hui une exception : dans le cas de soi-disant “le Manifeste dans une défense des droits fondamentaux dans Internet”, comme il a des défenseurs en trop, je serai permis de présenter mes divergences, bien que je partage assez de points de ceux qu'il signale (surtout, il est clair, le relatif à qui sans un ordre judiciaire peuvent fermer des pages Web) :
Numéro écarté 5 du Manifeste me paraît qu'il attente gravement aux valeurs de la gauche. Il dit ainsi : “Les auteurs, comme tous les travailleurs, ont un droit à vivre de son travail avec de nouvelles idées créatrices, les modèles d'affaire et d'activités associés à ses créations. Essayer de soutenir avec des changements législatifs à une industrie obsolète qu'il ne sait pas s'adapter à ce nouvel environnement n'est pas juste et réaliste”.
Comme le dit mon ami J.E.: “de la gauche personne ne s'est-elle rendue compte que ce point sert à justifier arrêter d'appuyer les secteurs déterminés de l'économie qui ne sont pas rentables ? Une autre chose consiste en ce que je pense que le Gouvernement se trompe en pariant pour soutenant concrètement ce modèle dans l'environnement culturel, mais ce point établit comme fondement (…) que l'État ne devrait pas appuyer des secteurs industriels pas rentables”.
Cela me mène à penser que beaucoup de gens de gauches qui se sont ajoutés au manifeste l'ont fait acríticamente, sans qu'il ait été lu, parce qu'encore avec un coup d'oeil diagonal le point susdit chante déjà.
Un manifeste qui ne veut pas tomber dans les mêmes lieux communs habituels a à remarquer que les droits d'auteur ne sont pas l'ennemi. Sous des conditions capitalistes de production, les ébénistes font des meubles, et mon ami Morán fait cómics. À l'ébéniste se reconnaît le droit de toucher par les meubles qu'il vend, et mon ami Morán n'aurait pas pourquoi avoir à supporter que de grandes entreprises de déchargement tireront profit en offrant les créations de mon collège.
Une autre chose consiste, il est clair, en ce que n'a pas de sens que l'ébéniste touche par chaque fois que s'utilise son meuble, et que mon ami Morán prétende à ce qu'il se paie chaque fois que quelqu'un lit ses cómics (la chose à laquelle, évidemment, il ne prétend pas). Le canon a rien à voir avec ce que je dis : tous sommes d'accord de le détester.
Et c'est qu'une chose sont les postulats terriblement raisonnables et du tonnerre que les gens comme Richard Stallman ou Lawrence Lessig défendent, et une autre chose est de penser que se décharge de Megaupload l'épisode de Perdus de la semaine (la chose que je fais, certes) est un droit que j'ai comme utilisateur d'Internet. Ils ont rien à voir. La construction idéologique qui s'est fait beaucoup de rocher pour avoir la conscience tranquille tandis que se décharge l'épisode de Perdus est dingue.
En citant SuperSantiEgo : “il n'arrête pas d'être curieux que nous sommes si généreux en gérant les droits de reproduction des autres et tout de suite nous chiné tant que le bouc de notre voisin nous mangue un peu de wifi”. Si dehors un millionnaire excentrique me ferait un tee-shirt avec cette phrase, qui reflète à la perfection l'hypocrisie de toute celle-ci administrée l'extrême-onction de pesudorevolucionarios des digitales postadolescentes.
Un débat sérieux sur celui-ci est nécessaires le sujet qui s'éloigne des clichés habituels. Tandis que cela ne succède pas, nous aurons d'un côté quelques boucs qui gèrent abusivement quelques droits d'auteur, et de l'autre quelques types qu'ils créent que comme ils ont une capacité de décharge des choses gratuites, c'est un droit fondamental. Et dans le feu croisé, en payant les conséquences de tant d'irrationalité, mon ami Morán.
Le manifeste suit dans celle-ci dynamique de bêtes tranchées pour être acrítico avec le deuxième groupe d'humains.
Je n'ai la langue bien pendue plus, que je veux voir avant de manger l'épisode de Californication que je n'ai pas de baisser.

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