Tuesday, March 23, 2010

Un toupet, des favoris et Hot 'n' Cold

The Baseballs sont une bande allemande de Rock and roll qu'ils ont sauté à la célébrité par ses géniales versions un type des années 50 de succès du moment comme “Umbrella“ de Rhianna, “Hot ‘n Cold” de Kate Perry ou “Don’t un schah” des Pussycat Dolls.
Bien qu'ils finissent par devenir quelque chose répétitifs, ils ont le goût pour faire “covers” qui est terrible.
Ici je vous laisse un vidéo avec son “Hot’n cold”. Ne me dites pas dans les commentaires qu'ils ne sont pas buenérrimos :


Shooo-wap, shooo-wap... yooou chaaaange your miiiind like à giiiirl changes cloooothes...

Saturday, March 20, 2010

Le Dawson Grandit : extrêmement des pédants

Je ne sais pas si vous rappelez cette annonce employée d'un Renault Clio dans laquelle un chef grondait son jeune homme et rebelle. Le patron lui disait qu'il arrivait tard au travail, qui répondait au gérant, qui habillait unappropriéement qui touchait le saxophone par les nuits... et enfin le chef cassait quelque chose de pareil telle que "et il est que, comme Kant dit, il y a des certaines choses que, pour les bien savoir, il ne suffit pas d'avoir apprises".
Le jeune homme et un rebelle un employé reconnaissait les droits qui imputaient en même temps qui signalait le très préparé qui était pour le boulot et, avant de partir du bureau du chef, il le corrigeait en le signalant que le rendez-vous n'était pas à Kant, mais à Séneca. L'annonce en finissait avec un écriteau qu'il mettait "JASP : Des jeunes hommes Aunque Sobradamente Preparados".
Oui, oui, il nous ne s'échappe à personne que le jeune homme et un rebelle un employé fera aujourd'hui un cours de l'arrêt et suivra avec le même Clio. Mais il n'est pas de cela de ce qu'il voulait parler, mais de que, jusqu'à où j'arrive à me rappeler, celui-là a été le premier produit de celui que j'ai une constance destiné à gafapastas, culturetas et assimilés (et il consiste en ce qu'il est seulement resté au chef à l'accuser d'aller le jeudi à la cinémathèque voir des films kurdes dans une version originale sous-intitulée).
L'autre grand produit de consommation massive que le souvenir de ces temps dirigé vers un public qu'aujourd'hui nous reconnaîtrions comme gafapasta ou cultureta est la série le Dawson Grandit. En fait tous ceux qu'aujourd'hui nous sommes de quelque façon gafapastas ou culturetas nous partageons le fait d'avoir été adeptes du Dawson Il grandit, au moins de ses deux ou trois premières saisons.
Disons-le, des gens, il faut le dire : les personnages du Dawson Il Grandit ils étaient muuuuuy pédants. Aujourd'hui l'un les regarde et pense des choses comme "mais quel dommage il a fait à ces oncles de Capeside lire Marcel Proust avec treize ans" ou "quelle mauvaise digestion ils ont rendue le film du chameau qui pleure".
Tendre et doux Joey finissait par sembler cruellement fatigué, se fâchait avec le Dawson par quelques rouleaux métaphysiques uncompréhensibles et ils donnaient quelques envies terribles d'éteindre la télévision quand il s'indignait des bêtises. Pacey ne pouvait plus être genio-atormentado-maldito-bohemio-rebelde-inconformista-pasota...ílo il avait tout pour être odieux! Normal que lui et Joey achèveront ensemble.
La série ils continuent de réinstaller dans la télévision autonome. En la voyant un moment tandis qu'il prenait le petit déjeuner l'autre jour je me suis rendu compte de ce que, sans doute, plus normal de tous était Jen, qui avait finalement des penchants aussi mondains que le sexe et les drogues. Et ils vont et ils la se chargent dans le dernier épisode! Pourquoi tant je déteste, messieurs le producteurs du Dawson Il Grandit ? Pourquoi tant déteste-je ?!
[Succède quelque chose de rare dans les commentaires... seulement on voit tous les commentaires qui ont fait s'il se fait à "publier un commentaire"... quelle si rare action... a dû lui donner un rouleau chungo à blogger] Download The Wanda Sykes Show S01E15 Episode 15 now

Friday, March 19, 2010

Le meilleur de la semaine, par Punts de Vue

Àngels nous apporte depuis Punts de Vue sa sélection du plus détaché du blogosfera rouge d'entre publié la semaine passée. Vous tardez à aller à son blog voir déjà ce qui nous commente sur l'écrit par Antonio, Antoni, Toni, Álvaro Sonnait, Rafa, Lidia, les Rois, Inés, la Marine et Víctor.

Download Chuck S03E10 Chuck vs. the Tic Tac free

Le lynchage permanent au Pays Basque

Une alarme généralisée par le lynchage semble exister mediático à celui qui s'est soumis à un père qui accusait d'être violé et de tuer à sa fille, à soi ayant démontré à la fin qu'il était faux : sa fille pourrait être morte par un jugement médical et il ne présentait pas de signe de violation. Quelques entreprises de communication semblent se montrer timidement des repenties après l'excrément monumental.
Plus de trente jeunes hommes sont lynchés depuis des jours, sans que ne serve d'intermédiaire aucun jugement, en les se reprochant être membres d'une bande terroriste. Certains des détenus ont été photographiés à visage découvert et ils ont été emmenottés. Comme c'est le tonic général depuis que j'ai une mémoire, on n'a pas rendu public au fait dont certains d'entre eux sont déjà dans la rue, en ne s'ayant pas trouvé des raisons pour les maintenir emprisonnés.
Dans le deuxième cas, bien sûr, l'acte le plus minimal de constriction n'existe pas de la part des entreprises de communication : pour ceux-ci des lapidations valables continuent d'exister, et sa stratégie communicative en ce qui concerne le conflit basque est le lynchage permanent à n'importe lesquels qui peuvent politiquement coïncider avec la partie de la nationaliste basque gauche groupée j'entrebâille Batasuna.

Thursday, March 18, 2010

Des aiguiseurs : deux questions et une confession

Par votre rue l'aiguiseur continue-t-il de passer ? L'autre jour j'ai vu l'un par la télé dans un programme sur la Roumanie et j'ai rappelé la quantité de temps qui ne l'a pas écouté. Je me refuse à penser qu'ils se sont éteints : des couteaux continuent d'exister et il continue d'exister la nécessité de les avoir comme aiguisés (et admettons que le niveau d'aiguisé que l'on obtient par la pierre d'émeri que nous ayons tous à la maison est très très regulero …)
Par mon peuple il fait que je n'entends pas passer le lait de temps. Il leur passe sûrement comme au Vautour Fauve et ils survivent seulement dans quelques lieux du pays … il baiserait avoir à aller au Caceres ou à la Guadalajara à une “réserve d'aiguiseurs” pour réussir bon aiguisé.
Une autre chose qu'il vous voulait commenter … : dans tous les endroits faisaient-ils le même son de réclame ? Dans le mien ils touchaient une mélodie telle que j'ai saisi : “fiurururruuuuu … fururururiuuuuu” (d'abord vers pointu, et tout de suite il faisait gravement - vous aurez remarqué mes connaissances brutales de solfège: hein ?-). Dans le tien idem ? Ceux qui vivent près d'une “réserve d'aiguiseurs” et ils écoutent comment des centaines d'eux font en même temps la réclame dans une époque d'appareillement me pourront être établis facilement à cette deuxième question.
Et maintenant une confession : par Tutatis qui jusqu'au bien rentré dans des années (je suppose que dans un âge compris entre faire la communion habillé de marinerito et la sortie du premier protomostacho) pensait que “fiurururruuuuu … fururururiuuuuu” c'était le son que monsieur l'aiguiseur faisait après avoir réalisé son travail. Comme il vivait dans un quatrième étage et n'arrivait pas à voir comment il aiguisait l'outil, il avait la conviction de ce que, après avoir choqué le couteau contre la pierre, sortait le curieux sonidillo. Jusqu'à ce qu'un jour je visses le susdit dans une motocyclette en lui donnant sur le sifflet - flautilla. Quelle déception.

Non... je peux... arrêter... de... voir...

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Wednesday, March 17, 2010

Je ne m'ajoute pas au manifeste

Je suis très peu de “culofino” à l'heure d'adhérer à tout document ou à la campagne avec laquelle il partage le noyau essentiel dont il défend. Je ferai aujourd'hui une exception : dans le cas de soi-disant “le Manifeste dans une défense des droits fondamentaux dans Internet”, comme il a des défenseurs en trop, je serai permis de présenter mes divergences, bien que je partage assez de points de ceux qu'il signale (surtout, il est clair, le relatif à qui sans un ordre judiciaire peuvent fermer des pages Web) :
Numéro écarté 5 du Manifeste me paraît qu'il attente gravement aux valeurs de la gauche. Il dit ainsi : “Les auteurs, comme tous les travailleurs, ont un droit à vivre de son travail avec de nouvelles idées créatrices, les modèles d'affaire et d'activités associés à ses créations. Essayer de soutenir avec des changements législatifs à une industrie obsolète qu'il ne sait pas s'adapter à ce nouvel environnement n'est pas juste et réaliste”.
Comme le dit mon ami J.E.: “de la gauche personne ne s'est-elle rendue compte que ce point sert à justifier arrêter d'appuyer les secteurs déterminés de l'économie qui ne sont pas rentables ? Une autre chose consiste en ce que je pense que le Gouvernement se trompe en pariant pour soutenant concrètement ce modèle dans l'environnement culturel, mais ce point établit comme fondement (…) que l'État ne devrait pas appuyer des secteurs industriels pas rentables”.
Cela me mène à penser que beaucoup de gens de gauches qui se sont ajoutés au manifeste l'ont fait acríticamente, sans qu'il ait été lu, parce qu'encore avec un coup d'oeil diagonal le point susdit chante déjà.
Un manifeste qui ne veut pas tomber dans les mêmes lieux communs habituels a à remarquer que les droits d'auteur ne sont pas l'ennemi. Sous des conditions capitalistes de production, les ébénistes font des meubles, et mon ami Morán fait cómics. À l'ébéniste se reconnaît le droit de toucher par les meubles qu'il vend, et mon ami Morán n'aurait pas pourquoi avoir à supporter que de grandes entreprises de déchargement tireront profit en offrant les créations de mon collège.
Une autre chose consiste, il est clair, en ce que n'a pas de sens que l'ébéniste touche par chaque fois que s'utilise son meuble, et que mon ami Morán prétende à ce qu'il se paie chaque fois que quelqu'un lit ses cómics (la chose à laquelle, évidemment, il ne prétend pas). Le canon a rien à voir avec ce que je dis : tous sommes d'accord de le détester.
Et c'est qu'une chose sont les postulats terriblement raisonnables et du tonnerre que les gens comme Richard Stallman ou Lawrence Lessig défendent, et une autre chose est de penser que se décharge de Megaupload l'épisode de Perdus de la semaine (la chose que je fais, certes) est un droit que j'ai comme utilisateur d'Internet. Ils ont rien à voir. La construction idéologique qui s'est fait beaucoup de rocher pour avoir la conscience tranquille tandis que se décharge l'épisode de Perdus est dingue.
En citant SuperSantiEgo : “il n'arrête pas d'être curieux que nous sommes si généreux en gérant les droits de reproduction des autres et tout de suite nous chiné tant que le bouc de notre voisin nous mangue un peu de wifi”. Si dehors un millionnaire excentrique me ferait un tee-shirt avec cette phrase, qui reflète à la perfection l'hypocrisie de toute celle-ci administrée l'extrême-onction de pesudorevolucionarios des digitales postadolescentes.
Un débat sérieux sur celui-ci est nécessaires le sujet qui s'éloigne des clichés habituels. Tandis que cela ne succède pas, nous aurons d'un côté quelques boucs qui gèrent abusivement quelques droits d'auteur, et de l'autre quelques types qu'ils créent que comme ils ont une capacité de décharge des choses gratuites, c'est un droit fondamental. Et dans le feu croisé, en payant les conséquences de tant d'irrationalité, mon ami Morán.
Le manifeste suit dans celle-ci dynamique de bêtes tranchées pour être acrítico avec le deuxième groupe d'humains.
Je n'ai la langue bien pendue plus, que je veux voir avant de manger l'épisode de Californication que je n'ai pas de baisser.